C’était un jour comme un autre au quotidien « l’agefi ». Les employés travaillaient normalement quand tout à coup on frappa à la porte: “ouvrez, Police!”. Des agents investirent les locaux vite fait bien fait, le personnel fut contraint de sortir. Au bout de deux heures, le verdict, implacable: flagrant délit de piratage de logiciel. Chanceux malgré tout, le journal s’en tira avec une amende salée. Deux ans après les faits, on murmure que c’est un ex-salarié de « l’agefi » qui vendit la mèche.
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