Interpol a fort à faire. On mandate le superflic pour filer les membres du clan Kadhafi et en même temps, le ministère américain de la justice menace de le mettre aux trousses des banquiers qui favorisent l’évasion fiscale. Le Credit Suisse serait notamment dans le viseur de Washington, lit-on dans la presse internationale. Si Interpol ratisse large, cela tomberait bien, dans le fond, vu que la Suisse ne sait toujours pas où se trouve l’argent de la rançon versé par Berne pour la libération des otages en Libye.
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