Malgré la pression croissante des marchés financiers, la Grèce n’a aucune alternative à l’euro, a déclaré le nouveau Premier ministre sans étiquette Lucas Papademos lors de sa première déclaration de politique générale. Pendant ce temps en Italie, l’économiste Mario Monti, également sans étiquette, s’efforce de former rapidement un gouvernement. Etre indépendant n’est pas une recette miracle contre la crise, estiment les commentateurs, qui demandent aux technocrates Papademos et Monti d’agir avec résolution. Lire la revue de presse d’Eurotopics.
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