Lors de l’élection du gouvernement helvétique mercredi 14 décembre 2011, le premier parti du pays, l’UDC populiste de droite de Christophe Blocher, n’a obtenu qu’un seul des sept sièges de conseillers fédéraux à pourvoir. Le second siège qui échoit traditionnellement à ce parti a été attribué par les autres partis à la représentante d’une formation qui n’a recueilli que cinq pour cent des voix. Si certains commentateurs jugent que cela menace la démocratie consensuelle, d’autres se réjouissent de voir les populistes sanctionnés. Lire la revue de presse européenne d’Eurotopics.
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