Après 22 ans passés dans le couloir de la mort, Debra Milke pourrait être libérée. Le 14 mars 2013, la cour d’appel supérieure de San Francisco a tranché en faveur de cette Américaine d’origine germano-suissse accusée d’avoir commandité en 1990 le meurtre de son fils, âgé de quatre ans. «Des considérants très forts et détaillés discréditent l’Etat d’Arizona, la police de Phoenix… et les juges d’instances inférieures », commente le journaliste lausannois Jacques Secretan qui s’est battu pendant des années pour obtenir la libération de Debra Milke, 49 ans aujourd’hui. Convaincu de son innocence, Jacques Secretan a publié un livre relayé par l’inspiration de l’artiste vaudois Jean-Pierre Huser qui lui a consacré une chanson et des tableaux. Un appel à la Cour Suprême des Etats-Unis est encore possible.
Bonjour,
Tout ce que l’on peut souhaiter à Debra Milke c’est que la vérité voit le jour, et qu’elle soit réhabilitée.
Par contre on ne peut que s’insurger sur le maintien de la peine capitale dans certains états d’Amérique, et que les couloirs de la mort existent encore, en contradiction avec la déclaration des droits de l’homme, et que cette torture psychologique existe encore en 2013.
Salut et fraternité
Gérard Gorsse