Comme tous les samedis depuis plusieurs semaines, Caroline Depierre a manifesté silencieusement le 6 juillet 2013 devant le Palais de justice de Chambéry. A la suite d’une escroquerie commise à ses dépens, cette habitante de Bonneville, divorcée et mère de quatre enfants, dénonce le silence de la justice. Elle a fait un film , qu’elle a placé sur internet, et lancé une pétition. Elle réclame la moitié de la vente de l’hôtel de Bonneville dont elle partagea la propriété avec son ex-époux jusqu’en 2001. Photo Depierre
3 commmentaires à “Elle manifeste tous les samedis devant le Palais de justice de Chambéry”
Laisser un commentaire
Les commentaires sous pseudonyme ne seront pas acceptés sur la Méduse, veuillez utiliser votre vrai nom.
Une soit-disant journaliste est venue me voir mais elle ne m’a pas dit dans quel journal elle travaillait et je n’ai pas pensé le lui demander. Je lui ai donné une copie de mon film en DVD et je lui ai expliqué ma situation. Je lui ai raconté quelques problèmes que j’ai rencontrés en Haute Savoie et je lui ai dit que j’écrirai un livre sur mon histoire. Elle m’a demandé si des journalistes ou bien des télévisions connaissaient mon histoire et j’ai répondu à toutes ses questions.
Elle m’a dit qu’elle allait voir ce qu’elle pouvait faire mais à mon avis ce n’était pas une journaliste.
5 minutes après, je vois un des procureurs rentrer dans la cour d’Appel en me disant bonne journée.
Une heure après, 4 policiers municipaux ont déboulé devant la porte de la Cour d’Appel de Chambéry avec une voiture et ont commencé à embarquer mes panneaux.
Du coup, j’ai réagi immédiatement en réclamant mes panneaux.
Ils m’ont dit qu’il était interdit de mettre quoi que ce soit devant la cour d’appel de Chambéry.
Aussi je leur ai dit qu’il fallait me le dire avant et que j’allais me mettre sur le côté. Et là ils ont refusé, ils m’ont dit de partir, que mes panneaux étaient confisqués.
Par un mic mac pas possible et en dialoguant avec le responsable des policiers municipaux, j’ai réussi à récupérer mes panneaux et il a accepté que je me mette sur le siège en pierre devant la cour d’appel de Chambéry.
Pour récupérer mes panneaux j’ai dit des choses qui ont embêté le policier responsable et il m’a même dit, je suis envoyé, je ne suis qu’un policier de la municipalité.
Ils m’ont demandé ma carte d’identité et ils ont fouillé mon sac à dos bleu.
Merci, la Méduse, pour avoir diffusé cette vidéo. Cette personne est remarquable. ELLE EST UN BEL EXEMPLE D’UNE FEMME SURE D’ELLE à travers sa DETERMINATION.
Son état d’ EVEIL lui a donné durant toute cette histoire, La FORCE nécessaire D’AGIR. Chapeau!
Je suis convaincue par tant de dignité, de lucidité et de courage. Je ne comprends pas qu’il n’y aie pas plus de solidarité. Où sont les femmes?……….
Comment faire bouger les choses….?
Je continue à faire circuler………..