Dans un éditorial en ligne paru le 4 juin 2014, le « Financial Times » met le doigt sur les accusations de corruption qui minent la FIFA après l’attribution au Qatar du Mondial de football 2022. Le quotidien britannique critique la gouvernance autoritaire du président Sepp Blatter. « Le gouvernement suisse pourrait forcer la FIFA, organisation dont le but n’est pas le profit, à adopter des changements. Comme d’autres organisations sportives basées sur le territoire helvétique, la FIFA devrait être assujettie à la législation criminelle. Mais la Suisse répugne à le faire. »
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