Le TAF au chevet de la forêt du Flon


Espoir pour la forêt du Flon. Menacé par le projet contesté d’une Maison du livre, une boîte de 180 mètres de longueur, l’espace boisé au coeur de Lausanne éveille l’esprit de résistance de moult citoyens de la métropole lémanique. A la tête des indignés, Toto Morand (photo Erling Mandelmann, 2 février 2017) l’entrepreneur lausannois et candidat à la course au Conseil d’Etat  vaudois ne lâche pas le morceau. Avec une quarantaine de commerçants du Flon, il a déposé un recours collectif contre le permis de construire de l’Office fédéral des transports. Et promet d’aller jusqu’au Tribunal fédéral. En attendant, c’est le Tribunal administratif fédéral qui enverra ses experts juger sur pièce, a appris le Médusé. Réd.

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2 commmentaires à “Le TAF au chevet de la forêt du Flon”

  1. michelle 6 février 2017 at 14:50 #

    Cher Monsieur Morand,

    C’est par hasard, sur le site d’un parent, que j’ai pu lire ce qui vous motive à vous représenter aux élections. Mais comment être informés sans faire partie de facebook ? J’imagine que les médias “officiels” vous donnent peu la parole.

    Nous sommes pourtant plusieurs à partager vos inquiétudes mais à ne pas faire partie de ce réseau social.

    J’apprécie votre combat en faveur de la paysannerie et de l’agriculture bio. La Suisse pourrait devenir un exemple. Nous avons la chance de ne pas encore connaître les déserts alimentaires comme aux USA, où, en dehors des métropoles, c’est la galère pour trouver le moindre légume ou fruit frais à des km à la ronde. Aux personnes défavorisées l’Etat offre des bons de nourriture mais faute de trouver autre chose ils se fournissent en soda et nourriture conditionnée.

    Merci pour votre engagement.

  2. Rouge Beatrice 10 février 2017 at 07:33 #

    Monsieur.
    J’enregistre vos projets écologistes.
    Que faites-vous donc des emballages plastique qui polluent la terre et notre existence ? De qui vient l’ordre aux déchèteries de ne plus accepter les plastiques des emballages alimentaires. Est-ce parce que cela coûte trop cher de les trier et de laver ceux que les imbéciles sans tête, jettent sans les laver. Vous pénalisez les citoyens qui doivent désormais les ajouter à la poubelle blanche que nous devons acheter.
    Qu’en faites-vous ??? Les brûler ??? Belle notion de l’écologie ! Ou est-ce un ordre national ? Je vais leur envoyer un carton plein de ces plastiques d’emballages que nous n’avons pas demandés. Nous devrions aller les déverser sur la place, à Berne, comme les agriculteurs l’avaient fait, déposaient leurs surplus de tomates.
    Prenez vos responsabilités, pristoche.

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