Stoupa, avec le salut du grand Nikos Kazantsakis, octobre 2018. « Je voudrais que les étrangers sachent ce que nous avons enduré, quel chemin escarpé et ensanglanté nous suivons et combien lourd est le destin de la Grèce » (Nikos Kazantzakis, La liberté ou la mort). ©Jean-Philippe Chenaux, Lausanne