Malgré un sommet décevant, le quotidien suédois Aftonbladet énumère des raisons d’espérer :
«L’égalité entre les sexes dans les mesures de protection du climat a été consolidée. Chaque pays est appelé à réviser ses objectifs climatiques à la lumière des dernières connaissances scientifiques. Au-delà de la COP25, on enregistre des progrès : à titre d’exemple, beaucoup d’entreprises opérant au niveau mondial assument davantage de responsabilité pour la protection du climat. Aux Etats-Unis, une dizaine d’Etats fédéraux et un grand nombre de villes se sont engagés à respecter l’accord de Paris bien que Donald Trump lui ait tourné le dos. La Banque mondiale, le FMI et l’UE prennent d’importantes mesures pour sortir des combustibles fossiles. Partout dans le monde, l’effervescence est perceptible et la volonté de changement est là.»