Sur la base d’une épidémie savamment manipulée, les partis gouvernementaux se livrent depuis 2020 à la destruction des liens sociaux de notre collectivité. En cette période électorale, il convient de rappeler le niveau squelettique de leur légitimité démocratique : les élus de seulement 20 % des contribuables (que nous sommes tous, cf TVA!) profitent du 100 % du pouvoir public. Ces partis et leurs apparentés (notamment leurs sections dites « jeunes » étant instrumentalisées par leurs caciques) pratiquent de facto une plouto-phobo-cratie (ploutos=richesse, phobos=peur) sous le déguisement du mot « démocratie ».
La « collégialité », la mauvaise foi et l’opacité sur les mouvements financiers entre banques, pharmas, assureurs et partis gouvernementaux sont les signes de cette dérive suicidaire et/ou criminelle. Avant d’en arriver aux remèdes douloureux que sont les processus de sortie du totalitarisme, la prévention s’impose: n’élisons donc aucun candidat des partis gouvernementaux actuels ou de leurs apparentés aux 3 niveaux ; il y a toujours des mouvements nouveaux qui lutteront contre ces dérives.
Si dans votre commune il n’y en a pas, l’abstention est un devoir civique en un temps où les partis gouvernementaux font la preuve de leur nocivité.
Et parallèlement, exerçons, nous tous, l’éveil de notre lucidité et conscience personnelles.
Pierre Santschi, Lausanne, ancien député au Grand Conseil VD
Tribune libre – Élections pour de vrais défenseurs de la démocratie
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