En votant à l’extrême droite, les Italiens espéraient peut-être se défaire de la pression européenne, comme de l’emprise de sa cheffe d’orchestre, Ursula von der Leyen. C’est raté. Les élections italiennes font, une fois de plus, la démonstration que le vote du peuple n’exerce plus aucune influence que la présidente de la Commission européenne ne saurait supplanter. Lire dans L’Impertinent.
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