Le Temps Que j’observe De mes prunelles bien droites M’a fait une révérence, En passant. Je lui ai fait l’aumône De deux cheveux blancs Et il me remercia En claquant Des dents. Le Temps Que j’observe De mes prunelles bien droites Me sourit, à demi. J’attends qu’il ait passé Le coin de la rue Pour aller me coucher. C’est aussi plus décent. Xian, 1975
Le Temps
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