Tribune libre – Iran, ce prince qui parle comme un chef d’Etat et qui incarne l’espoir


L’opinion que j’exprime ici paraîtra peut-être exagérée, mais cela fait plus de 40 ans que j’ai honte de mon pays natal et de ses représentants. 40 ans de honte face à la situation d’un pays à la culture millénaire, dirigé par des mollahs incultes. Dans ce contexte, mon opinion ne devrait pas être dénuée de sens, tout ce que je pourrai dire ne suffira pas à exprimer la joie que j’éprouve de voir enfin une lueur d’espoir.

À la veille du Nouvel An iranien, Nowruz, dans moins de deux semaines, une nouvelle étoile est née, un nouveau leader pas comme les autres. Il est le symbole de l’espoir, il apporte la joie dans le cœur de nombreux Iraniens, ceux qui ont l’intelligence de voir, ceux qui aiment leur pays plus que leur ego, leurs intérêts personnels ou la soif de pouvoir. Il s’appelle “Prince Reza Pahlavi”. 

Il vient de terminer sa tournée en Europe. Partout, il a été reçu avec modestie mais il a parlé comme un chef d’Etat. Aucune fausse note, mais des positions claires et fermes et des réponses percutantes, révélatrices d’années de réflexion, d’études et de recherches. Il apparaît comme un politicien lucide et sincère, tel qu’on en trouve peu dans le monde contemporain. Il s’adresse à tous les cœurs, à tous les patriotes. Il évoque les anciennes valeurs iraniennes enterrées depuis des siècles sous l’obscurantisme et les régimes totalitaires. Il appelle à l’unité des partis politiques, il appelle au soutien et à la protection des pays occidentaux. Il ouvre la voie, il est la voix de millions d’Iraniens. 

Quel meilleur augure pour une nouvelle année que de voir le fils de la nation, acclamé par un grand nombre d’iraniens, prendre les rênes du mouvement révolutionnaire.

Quelle joie à l’aube du Nouvel An iranien !

L’arrivée du Nouvel An est précédée de feux allumés le dernier mardi de l’année. En sautant par-dessus le feu, les Iraniens se purifient et se délestent de leurs misères et maladies. Pouvons-nous espérer qu’à cette occasion, qu’ils brûlent également leurs rancœurs et leurs différences et s’unissent sous un seul drapeau, celui du lion et du soleil levant, symbole de la force et de la lumière qu’incarne ce leader prometteur?

Yasmine Motarjemi, Nyon

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