Un commentaire à “Poème de Roger Chanez”
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Retour du Rimeur trouble-fête sur deux de ses maîtres, au vu des stances de Roger Chanez:
Le dernier quatrain de « Marquise », de Pierre Corneille:
[… ]
« Pensez-y, belle marquise.
Quoiqu’un grison fasse effroi,
Il vaut bien qu’on le courtise
Quand il est fait comme moi. »
Et sur suggestion de Tristan Bernard:
« Peut-être que je serai vieille,
Répond Marquise, cependant
J’ai vingt-six ans, mon vieux Corneille,
Et je t’emmerde en attendant. »