Suite à la conférence de paix organisée dans le complexe hôtelier de Bürgenstock, dans un post Telegram relayé par le portail numérique Ekho basé à Berlin, le politique d’opposition russe Boris Vichnevsky, de sensibilité libérale, revendique de mettre immédiatement fin aux combats :
Tant qu’il n’y aura pas de cessez-le-feu, tant qu’il y aura des morts, des négociations ne sont pas possibles. Cet accord doit être conclu sans conditions préalables. Faites taire les armes et commencez à parler – pendant des semaines, des mois, des années même peut-être. A partir de positions diamétralement opposées – nous le savons déjà. … Il faut arrêter la boucherie, et la cessation des hostilités ne doit pas être le résultat de longues négociations à venir, mais leur point de départ.
On hue aire SS!
cessez cette paix!
d’URSS ou CCCP, de quoi en envoyer certains sur la Lune car gare, gare in! (non pas urologue biennois)
La bêtise humaine va bon train!
Mais les russes tiquent, ce que l’on eut craint.
Collaborer créerait un précédent fâcheux (Réf: politique vaudoise)
Cédant à la bêtise, on peux espérer le meilleur!