NOUS NE RETOURNERONS PLUS À SASHALOM

Trois jeunes femmes, trois destins hongrois au cœur de la guerre froide, espionnage et Vatican, une saga entre Budapest, Berne et Lisbonne. Pour se procurer le livre: lamaraude@bluewin.ch


Réfugiées au couvent du Sacré-Coeur dirigé par la religieuse suisse Hildegard Gutzwiller, trois jeunes Hongroises nouent une forte amitié lors du bombardement de Budapest en 1944. Quels destins connaîtront-elles au lendemain de la guerre et jusqu’à la révolution de 1956, alors que la Hongrie plonge dans les années sombres du stalinisme ? Avec, comme fil rouge, la violence d’Etat et les intrigues qu’alimentent les services secrets des grandes puissances, le récit de ce roman où les personnages fictifs ou réels évoluent dans un contexte historique avéré nous entraîne dans une saga entre Budapest, Berne et Lisbonne. Sans oublier le Vatican dont certaines éminences exercent un rôle ambigu dans le grand jeu de l’espionnage mondial.

Revue de presse

Fondateur d’infoméduse, Christian Campiche raconte une histoire de la Hongrie, victime successive du nazisme et du stalinisme, dans le roman « Nous ne retournerons plus à Sashalom« , inspiré de son histoire familiale. Dans l’ « écho magazine », Cédric Reichenbach revient sur le livre, à qui la guerre en Ukraine confère une actualité dramatique, nullement anticipée au moment de l’écriture. De son côté, le Courrier d’Europe centrale, site web d’information cofondé par Corentin Léotard, en publie un extrait. A noter enfin cette interview de l’auteur du roman par Blaise Lempen, président de la Presse Emblème Campagne, la PEC, sur le site de l’ONG basée à Genève.

Les lecteurs écrivent

Lecture prenante et déroutante jusqu’à la fin, car l’on est obligé de sortir de sa propre histoire pour se plonger dans un monde inconnu, truffé de références historiques et l’on devine en même temps une implication quasi personnelle. Je considère que l’accès au livre est difficile, il me donne l’impression d’être un essai en premier lieu, une recherche d’impliquer, d’obliger le lecteur à se perdre dans un monde et d’y trouver l’accès, la clef de lecture, cette presque opinion n’engage bien sur que moi. Il y a des passages d’une sublime poésie, posés sur pages et des réflexions lancinantes – la défiance, la perversité guette à tous les coins, quasi chaque personnage peut être soupçonné d’humanité double selon les circonstances et ses positions dans la société – une saga que oui, vernommen und gesagt, informations happées par les mille tentacules de l’histoire et des histoires, fascinant, captivant, déroutant. – Je pense au moustachu du Kremlin, pervers et sadique, antisémite et aux vers de Mandelstam – « lui seul pointe l’index, lui seul tape du poing. Il forge des chaînes, décret par décret… » LES BORGAS (ndlr: pseudonyme du chef de la police secrète hongroise au début des années 50) sont nombreux, pas seulement en Hongrie. Il faut se le dire. Une histoire aussi de MANI PULITE, les plus propres ne sont parfois pas ceux que l’on croit !

Gérald Riedo, Fribourg

Heureux d’avoir lu ce livre excellent. Je ne trouve pas les mots corrects pour vous féliciter pour cette œuvre remarquable; un plaisir fait aussi de tristesse devant l’histoire inéluctable qui se répète. Magnifique témoignage d’une époque que vous avez précisément rendue, miroir de sociétés universelles.

Alain Gonthier, Berne

Ce superbe ouvrage m’aura appris, mais est-ce une surprise, que je ne connaissais rien ou presque, hormis un peu par l’intermédiaire de deux de ses compositeurs phares,  de la Hongrie et de son destin, ballottée qu’elle fut et est encore entre gloire, infamie, désespoir et espérance tout au long de son histoire.

Jean-Etienne Berset, Zurich

(…) Le sujet du livre est passionnant, porté par une plume nerveuse, pleine de tendresse et ultra-cinématographique.

(Extrait de Blogèmes, Le journal poétique de Ferenc Rákóczy)

Ce beau roman historique et familial nous fait redécouvrir la souffrance du peuple hongrois sous la férule des nazis puis des soviets.

Christian Lecerf, Lisbonne




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