PAR SANTO CAPPON Au sud de Manhattan un mois vient à peine de s’écouler. On continue à distribuer des masques, pour tous ceux qui ne veulent renoncer à y respirer, quoi qu’il survienne désormais à proximité d’un tombeau ouvert : cendres encore tièdes, chairs volatilisées, invisiblement putréfiées. Mixte est l’odeur qui plane. Unitaire est la peur.
Tag Archives: 9.11.01