Lorsque éclate la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne compte de nombreux jeunes poètes, plus que prometteurs. PAR BERNARD GENSANE Certains mourront « au champ d’honneur » (d’horreur, comme chantait Jacques Brel), d’autres survivront et témoigneront, durant et après la guerre. Ce sera le cas de Siegfried Sassoon, un de mes préférés. Il sera à deux doigts d’être traduit