Le mot d’ordre est clair: attention, oreilles indiscrètes, surtout ne rien divulguer sur les manoeuvres en cours, restructurations et autres licenciements. Sait-on jamais: un blogueur pourrait utiliser ces informations à mauvais escient…
Ce climat digne de la république des doges est exaspéré par les purges qui commencent à empoisonner la presse. Issue d’une illustre lignée de Russes blancs, la journaliste d’un quotidien vaudois vient d’en faire l’expérience. Elle a été évincée sans autre forme de procès. Si cela peut la consoler, son cas ne sera pas isolé: on craint désormais une charrette d’une vingtaine de personnes. Triste automne.
Silence, on purge!
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