Le train de 23h31 en provenance de Rome arrive sur la voie quatre. On est à Ventimiglia, à la frontière italo-française. 80 personnes descendent du train, des réfugiés Tunisiens. Ils espèrent entrer en France où les attendent des connaissances, des parents. Mais la France a érigé un mur et ses fonctionnaires les refoulent en Italie. La responsabilité de cette situation est pourtant du côté italien, estime Matteo Zola dans EaST Journal.