Après l’avoir lu, vous pouvez le planter dans un pot. Lire dans DozoDomo.
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La Méduse a lu – Le Mainichi, l’un des plus grands quotidiens japonais, fleurit quand on le plante
sur 24 février 2018 in Lu ailleurs, Ma Planète, Médias - Desk - 2 commentaires
2 commmentaires à “La Méduse a lu – Le Mainichi, l’un des plus grands quotidiens japonais, fleurit quand on le plante”
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Christian Campiche. La Maraude, 2021 - 221 pages
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Passion dans les pâturages pendant la guerre, alors que l’or nazi est caché dans le réduit helvétique.
«Chroniques du Médusé 2020-2022» est le titre du recueil rassemblant les éditoriaux de Christian Campiche dans infoméduse, couvrant une période de deux ans. Il succède aux «Chroniques du Médusé 2017-2020» . Le livre à tirage limité peut être obtenu au prix de CHF 20.- + frais d’expédition (CHF 15.- + frais d’expédition pour les membres donateurs) auprès de l’éditeur en formulant une demande à l’adresse suivante: contact@lameduse.ch
Fort sympathique au premier abord, mais finalement totalement démagogique!
Car ce papier est-il à son tour à nouveau recyclable dans la filière papier?
Pourquoi ces graines et pas d’autres?
Un seul numéro de ce journal nécessite combien de surface de terre pour être entièrement utilisé comme semi?
Doit-on ainsi couvrir la totalité de son chez soi de petits rejetons floraux numéro après numéro?
L’énergie grise nécessaire à la production de ces tonnes de graines est-elle durable?
Pardonnez-moi mon manque de poésie, mais lorsqu’une entreprise de communication s’empare d’un problème, est-il jamais résolu?
Alors moi, je suggère qu’on puisse manger le journal après l’avoir lu.
Je soutiens que si on arrive à aller sur la lune, on doit pouvoir fabriquer un papier comestible.
Dont l’encre serait évidemment également consommable.
Celle-ci pourrait d’ailleurs être de différentes couleurs, ce qui égayerait la lecture et offrirait ainsi différents parfums, mûre, fraise, cassis, myrtille, ou encore épinard, figue ou safran…