Loi anti-civisme, prétendue anti-terroriste: les élu/e/s qui l’ont votée, et les électeurs qui pensent l’approuver, sont-ils vraiment sûrs d’être à l’abri de l’arbitraire policier qu’elle favorise?
Peut-être feraient-ils/elles mieux d’y réfléchir devant leur bulletin de vote…
Car les exemples du milieu du siècle dernier sont parlants, non?
Conscience, et lucidité…
Pierre Santschi, Lausanne