Malgré des condamnations véhémentes dans de nombreux pays, le Japon continue son odieuse chasse à la baleine.
Cette chasse est toujours plus redoutable car elle se fait au moyen de repérages visuels par satellites ou radars sur les océans, dont le nombre reste inconnu. Le Japon utilise l’argument fallacieux de la finalité scientifique.
Paul Watson a seulement tenté d’empêcher un navire japonais de perpétrer un massacre. Résultat, il se trouve emprisonné depuis le 21 juillet sous le risque d’une expulsion vers le Japon. Pierre Richard, le célèbre comédien, un ardent défenseur des océans comme de la forêt amazonienne et des indigènes, a lancé un vibrant appel depuis le Groenland en juillet dernier, demandant la libération inconditionnelle du courageux activiste. Nous attendons toujours une réaction salutaire politique et médiatique, surtout de la part des nombreux écologistes européens, lesquels sont influents mais silencieux.
Un appel au boycott des voitures japonaises serait probablement un excellent moyen de pression…
Lionel de Pontbriand, Servion