Elisabeth Eckert, la compétente cheffe de l’économie à la « Tribune de Genève », voit sa rubrique se réduire comme peau de chagrin. Bientôt elle ne pourra plus compter que sur elle-même. A en croire les bruits de couloirs, on n’est pas loin du jour où l’éco disparaîtra purement et simplement après avoir été fondue dans le grand magma appelé à constituer le corps de la future Julie.
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