C’est l’homme indispensable à la « droite – vaudoise – la plus bête du monde » (comme l’a écrit le grand communicateur Marc Comina dans « 24 Heures »). Directeur sortant de « son » école, l’ECAL, Pierre Keller est partout : à la chasse aux primes pour le nouveau Musée des Beaux-Arts dans le hangar des locomotives de la gare de Lausanne, à la chasse aux voix pour le Conseil national, comme locomotive de l’ex-« grand vieux parti », le radical, donc. Et le voilà sur orbite pour la présidence de l’Office des vins vaudois (OVV) ! A la suite du négociante en vins Henri-Olivier Badoux, autre apôtre du chasselas, qui avait repris cette présidence au pied levé et a jeté l’éponge pour raison de santé, cet hiver.
Article paru dans Thomasvino