Pendant des années, les cadres des rédactions d’Edipresse ont joui de certains passe-droits. En résultait une nomenklatura d’autant plus obéissante à l’éditeur lausannois qu’elle lui était redevable de ses privilèges. En matière d’information, tout ce beau monde faisait la pluie et le beau temps. Ce bel échafaudage est-il en train de s’effondrer comme conséquence du rachat d’Edipresse par Tamedia? On murmure qu’Eric Hoesli, directeur des publications, aurait donné des consignes sévères aux gradés de son armée mexicaine. Le mot d’ordre est aux économies, plus question de voiture de fonction ou autres gâteries. Ca râlerait sec à la “tour”.
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