Eugène Leroy (1910 – 2000) au musée d’Art moderne de Paris du 15 avril au 28 août 2022
Que voici une SPLENDIDE rétrospective, 🌹💐🌹💐🌹💐🌹 à voir ABSOLUMENT ; particulièrement, pour ceux et celles qui ne le connaissent pas encore !
L’accrochage est magnifique et se déroule par thèmes.
Trois réserves :
1) la commissaire Julia Garimorth a cru devoir montrer, après quelques thèmes RETENTISSANTS, beaucoup des thèmes suivants : les poissons, les paysages et les marines ; c’est bien inutile, surtout que cela ‘contredit’ l’accrochage, jusqu’alors, éblouissant, épuré et aéré d’autres thèmes ; et ce qui, l’ayant observé, fait se détourner immanquablement certains visiteurs fatigués, de par le parcours final quelque peu resserré et sinueux, de trois FANTASTIQUES sections : ‘Apogées’, ‘Vénus endormie’ et ‘Grands formats’.
2) Il est TRÈS regrettable que cette LUMINEUSE exposition se termine, si j’ose dire, en queue de poisson; par trois toiles dont on se demande ce qu’elles font là et de quelques dessins – certes, pas inintéressants -, mais qui n’apportent rien à la reconnaissance de ce grand artiste.
3) Il est aussi projeté un film d’Alain Fleischer “Eugène Leroy, la voie royale de la peinture”, 2010 (durée 120 minutes) – à 10h30, à 13h et à 15h30 -; et il n’en n’existe pas un dvd.
Je suis resté deux heures dans cette exposition ; à mon humble avis, vous ne restez pas encore deux heures pour le visionner – surtout, si vient l’heure du déjeuner.