C’est un constat alarmant: plus de 300 églises ont été profanées en France en 2023 et 2024. Sans provoquer de condamnations officielles, juste un silence gêné, instrumentalisé par les médias publics sous le tapis d’une laïcité antichrétienne systématique, voire d’un anticléricalisme, dans le déni permanent de l’insécurité et des actes de délinquance des lieux de culte chrétien.
L’église de Saint Omer brûlée dans le Pas de Calais, l’église du Sacré Cœur à Nice, profanée avec destruction des statues. Sidérant est le manque d’écho de la part du clergé comme des autres religions monothéistes, lesquelles ne font part, ne serait-ce que par solidarité, d’aucune compassion vis-à-vis de la communauté chrétienne victime de ces exactions criminelles.
Que n’aurait-on entendu s’il s’agissait d’autres lieux de culte, synagogues ou mosquées, saccagées avec la même hargne…
Lionel de Pontbriand, Servion