Pour un ancien général américain interrogé par Blick, la Suisse doit se préparer à la guerre. L’ennemi est bien sûr identifié. Comme au bon vieux temps de la guerre froide. Ex-légionnaire, quant à lui, mon ami Lionel a cette réflexion: « l’Europe n’a pas tenu compte des guerres précédentes. Elle demeure, non une terre rare, mais une terre de sang. »
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Le chat est-il Poutine ou Trump? Qui berne l’autre? Quand souris et furets se confondent, les vampires se morfondent.
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Élection d’un nouveau conseiller fédéral: Pfister, c’est l’anti-Trump, commente la NZZ. L’armée suisse est sauvée!
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Reporters sans frontières communique les succès d’une technologie de pointe que l’organisation de journalistes a développée « pour contourner les restrictions imposées arbitrairement par certains régimes et gouvernements. En 2024, RSF a par exemple créé des sites miroirs pour plusieurs médias européens censurés en Russie ». Et pour les médias russes censurés en Europe? Sans frontières, les reporters?
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Co-auteur de tags antisémites sur des vitrines? A peine élu à la municipalité de Payerne, un jeune PLR aux dents longues se voit pointé du doigt par la rumeur publique et s’emmêle dans les confettis du carnaval des Brandons. Une fois n’est pas coutume, « 24 Heures » publie un éditorial pertinent sous la plume de son rédacteur en chef: « Soyons clairs, ce qu’il s’est passé à Payerne est abject. Raciste. Antisémite. Sexiste. Dégradant. Mais drôle, certainement pas. » Pas un mot, en revanche, du municipal tagueur. Lequel est peint en rouge en revanche par Christophe Passer dans le « Matin Dimanche ». Désormais logiquement ciblé par l’opprobre, l’intéressé devra sans doute patienter dans sa quête de la syndicature de la cité de Berthe.
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Un ping pong de représailles s’est engagé depuis que la nouvelle administration américaine a proclamé à sa manière le retour au protectionnisme. Aux taxes sur l’acier européen, Bruxelles a réagi en imposant à ses frontières le whisky américain. Selon euronews, « l’Union européenne entend être ‘intelligente’ et frapper les États américains à tendance républicaine, ceux qui ont voté Trump ». L’idée ne peut en effet émaner que d’un brillant cerveau! A tel point que les viticulteurs français se demandent si elle n’est pas au contraire complètement stupide. Car du coup c’est le champagne que Washington a pris en grippe. Obligeant les producteurs du divin breuvage, très dépendants du marché américain, à boire la tasse.
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Ô grandeur de l’esprit! L’artiste italien Salvatore Garau nous offre la preuve de ton existence en vendant pour près de 20.000 dollars des œuvres… invisibles. Une toile blanche, c’est tout. Un socle, sans rien dessus. Parfaitement, on appelle cela de l’art conceptuel. Il se dit d’ailleurs que l’artiste prépare une exposition à New York où « il n’exposera rien d’autre que des toiles qui n’existent pas ». Souhaitons-lui au moins d’attirer des visiteurs qui soient bien visibles.
Christian Campiche
Bien s’écrire est bien se concevoir: en effet, des visiteurs visibles pour une toile invisible! Seul le drapeau se veut blanc pour mieux cacher son visage…
A la guerre, et tout le monde le sait, il y a toujours deux perdants dont un qui se donne l’illusion d’avoir gagné. Pour en arriver là, on prend plaisir à mettre de l’huile sur le feu, ce que les psychiatres nomment « la symétrie ».
Dès lors la question n’est plus de savoir si ça va exploser, mais quand. Les américains, représentés par Donald (Trump, pique sous?) sont déjà victime de cette politique et le représentant canadien de s’excuser auprès d’eux de devoir peut-être être obligé de leur couper l’électricité…
Les victimes? les plus faibles et moins corrompus. Soins, éducation, à quoi bon?
A bon entendeur, salut!