Les intentions des transports publics (subventionnés aussi par les impôts des vieux), relayées par le télétexte, m’ont inspiré ce sizain:
À force d’acculer les aînés au natel,
Le technopathe aidé par l’État, son complice,
Dresse avec son sadisme un magnifique autel
Où il sait sacrifier (par ce savant supplice
Semblable au cocotier destiné aux seniors
Dont on les faisait choir) les vieux, pour leur «confort».