On entre en désespoir de cause. En miettes. PAR SABINE DORMOND On entre éparpillé, déconnecté de soi et coupé des autres. On entre parce qu’on a tout tenté et tout raté. Qu’on n’a plus rien à perdre. Et nulle part d’autre où aller. On pose ses fesses, on ferme sa gueule. On essaie juste de