PAR JACQUES DOMINIQUE ROUILLER Jean Marcenac, écrivain poète, avait dit de Picasso qu’il était le grand maître de la liberté. On pourrait user de ce qualificatif pour Jacques Pajak, artiste protéiforme qui s’exprima sans contrainte durant une existence hélas trop courte. Ce devait être en 1958 ou 59 que je le rencontrai pour la première
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