PAR CHRISTIAN CAMPICHE Quand les temps deviennent difficiles, rien ne sert d’évacuer le pire de son esprit. Pour éviter le pire, mieux vaut au contraire le prévoir. Dans le journal « Le Temps », le russologue français Georges Nivat admet qu’il n’a pas prévu le pire: l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes. Il n’est pas le
Tag Archives: les limites du pire