PAR YANN LE HOUELLEUR, à ParisC’est sans doute un luxe de poète et d’artiste (quoique plutôt désargenté). Lorsque s’enfuit l’été, un sentiment confus de joie et d’anxiété mêlés m’assiègent. Rien de plus beau que les tonalités éphémères de l’automne, cette flamboyance avant la déliquescence. Les dernières caresses d’un soleil soudain plein de mansuétude. C’est facile
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