« La mort d’une langue, fut-elle chuchotée par une infime poignée sur quelque parcelle de territoire condamné, est la mort d’un monde » écrivait le penseur George Steiner. Une étude de l’Université de Zurich montre qu’une grande partie des connaissances existantes sur les plantes médicinales est liée à des langues indigènes menacées. Dans une étude régionale portant sur l’Amazonie, la Nouvelle-Guinée et l’Amérique du Nord, les chercheurs ont conclu que 75 % des utilisations des plantes médicinales ne sont connues que dans une seule langue. Lire dans UP’Magazine.
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