Depuis ma plus tendre enfance, je nourris une horreur des magnificences inversées. A quatorze ans, je découvrais Chateaubriand que l’on m’a souvent décrit comme un auteur empoussiéré n’ayant plus rien à dire à notre époque vidée de sa substance. Et cependant, que n’eût Victor Hugo la clairvoyance de celui qu’il admirait tant. A seize ans,
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