Cette COP24 qui s’est achevée ce 15 décembre a démontré l’inertie si ce n’est l’incurie, voire même le sabotage des États face aux dérèglements climatiques. Une COP a minima alors que les enjeux tournent à l’urgence. Face à cette défection, de nombreuses initiatives menées par des citoyens, des élus ou des ONG se multiplient. Elles prennent un jour nouveau en recourant à l’arme judiciaire. De plus en plus souvent, des États – dont la France – sont assignés devant les tribunaux pour répondre de leur désertion dans la bataille du climat. Lire UP’magazine