La malédiction, privilège des malheureux.
La bénédiction, des fats.
Victoire, mes aïeux
On les a eus, cette fois.
La rage entre les dents, la queue entre les pattes,
Il gribouillait
Son abdication. Priez
Bonnes gens. L’échec vaut le mat
Au royaume des farcis.
Si!
Xian, mars 1978
La révolution des œillets fête son demi-siecle. Le fantôme de Fernando Pessoa hante toujours les rues de Lisbonne et les hordes de touristes n’effaceront jamais les marques de sa présence.
Le poème n’est pas de Pessoa. L’illustration est un clin d’œil à la révolution des… œillets.