Parfois, il y a des livres rédigés plusieurs décennies auparavant qui en disent davantage sur le monde actuel, la politique et nous-mêmes, les êtres humains; bien plus que tous les médias qui nous inondent quotidiennement. Interprétés avec soin, de tels livres peuvent souvent nous aider à nous orienter et à faire des pas significatifs dans
Revue de presse – « Sortie de secours » d’Ignazio Silone, l’humain est toujours à proximité
sur 22 décembre 2021 in Boussoles, Lu ailleurs - Desk

L’antidote de la peur, c’est l’amour !
sur 5 décembre 2020 in Ma Planète - Martin de Waziers
PAR MARTIN DE WAZIERS Crainte, épouvante, effroi, n’avons-nous pas vécu ces moments dans notre jeune âge ou plus récemment. Et qu’elle a été notre réaction ? Trouver du réconfort, chacun sa manière, cependant souvent au travers de bras secourant et montrant tendresse et affection, derrière lesquelles se cache ce qui motive notre vie au quotidien : c’est
Bis repetita non placent
sur 18 novembre 2020 in Santé - Pascal Holenweg
PAR PASCAL HOLENWEG Une majorité des Suissesses et des Suisses sont déprimés, ou aux limites de l’être, selon un sondage de la SSR. Au printemps, lors de la « première vague » de la coronapandémie, ils n’étaient qu’un quart à rechercher leur moral dans leurs chaussettes. C’était déjà beaucoup, mais cela suggère que cette « première vague » fut

Toilet paper & Guns
sur 25 mars 2020 in Arts plastiques, Economie, Ma Planète, Santé - Marc Schindler Commentaires fermés sur Toilet paper & Guns
PAR MARC SCHINDLER On pouvait s’y attendre, mais quand même, on est consternés. De quoi ? Je vais rester poli : de la …bêtise humaine ! En France, en Suisse, on se rue dans les supermarchés pour piller les rayons de pâtes et de papier toilette. Aux Etats-Unis, les armuriers se frottent les mains :

Lecture – « Comment ne pas écrire un roman »
sur 30 mai 2012 in Arts & Culture - Christian Campiche
Voilà le genre de livre qui devrait être distribué dans les Facultés de lettres. Ou bien aux cours du soir ausquels s’inscrivent les écrivains en herbe. PAR CHRISTIAN CAMPICHE Manifestement Arnold Rosin ne nourrit pas une estime démesurée à l’égard du «do it yourself» littéraire, cet amateurisme de la plume dont s’emparent les désoeuvrés du